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👁️‍🗨️ Cette semaine à l’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises … une tempête d’infos … 🌪

✳ Participation à la 5ème édition des Rencontres régionales #IDÉO organisées par la Région Bretagne sous forme d’ateliers et d’échanges avec les 250 participants de ce temps fort.Hâte à 🎯2024 pour s’engager dans les actions en faveur des publics prioritaires. ✴ La validation des candidatures pour les actions #Report‘AJE et #unstagepourtous en faveur des collégiens du territoire, en partenariat avec Région Bretagne, Conseil départemental du Finistère, Enseignement catholique France , Education nationale :✅ 25 établissements✅ 59 classes✅ 1.555 élèves(Ciaran étant passée par là, les établissements scolaires qui auraient oublié de candidater peuvent encore le faire !) ✴ Une classe en entreprise ! dans les locaux de Réseau Le Saint à Brest, avec les professeurs du Groupe Scolaire La Croix-Rouge La Salle Brest, pour préparer l’immersion des élèves de #STMG pendant 2 jours au sein de l’entreprise. ❇ L’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises participe à la Commission Armée Jeunesse !Lydia Villefeu et Sylvie CESAR César ont participé à la réunion de rentrée au Foyer du Marin à Brest, animée par @Arnaud Morvan. L’objectif de cette commission est de réfléchir à développer les interactions entre le monde de l’enseignement, l’armée de terre, l’armée de l’air, la marine et des entreprises …

💡 La revue du mercredi par Daniel SOMMER notre expert AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises

#9 𝙄𝙣𝙣𝙤𝙫𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙚𝙩 𝙥𝙚𝙧𝙛𝙤𝙧𝙢𝙖𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙚𝙙𝙪𝙘𝙖𝙩𝙞𝙫𝙚𝙨 𝙛𝙧𝙖𝙣𝙘𝙖𝙞𝙨𝙚𝙨 Un extrait des Echos du 30/10/2023 a attiré notre attention : « Pour Xavier Jaravel, professeur à la London School of Economics, « la France souffre d’un retard éducatif ahurissant » qui lui coûte cher en termes d’innovation et de croissance. Les politiques publiques peuvent permettre de redresser le tir, estime-t-il. Une thèse qu’il défend dans « Marie Curie habite dans le Morbihan », un essai à paraître le 03 novembre ». De quel « retard éducatif » parle-t-il ?L’innovation est, à la fois, le marqueur de notre société, mais aussi une condition essentielle au bon fonctionnement des entreprises, des associations, des administrations.Mais où et comment apprend-on à innover ?A l’université ? De nombreux dispositifs s’y sont développés, depuis la fin des années 90. On peut citer : le statut étudiant-entrepreneur, le dispositif Pépite, les incubateurs de projets, les challenges divers, les options de formation « entrepreneuriat » (en master), etc… L’un des facteurs ayant contribué à cet essor est la concurrence entre les différentes structures, ainsi que la grande liberté pédagogique dont elles disposent.Qu’en est-il à l’école, dans le secondaire ? Une fois établi le constat qu’il n’y existe pas de réelle liberté pédagogique dans les programmes, pas plus que de vraie concurrence entre les établissements, on comprend pourquoi les rares initiatives sont condamnées à rester très limitées, en volume d’élèves concernés.Pourquoi n’entraîne-t-on pas les jeunes à innover ? En fait, l’innovation n’est pas au programme de l’Education Nationale ! L’innovation pédagogique existe, certes, mais pour les (seuls) enseignants, et si l’on peut trouver ici ou là des marges de créativité pour les élèves, elles restent très limitées – le « chef d’œuvre pour les bacheliers pro., quelques options en classe de seconde, les programmes de STI2D… et les Escales AJE !On citera, enfin et surtout, les challenges de création d’entreprise que sont les minis entreprises, de l’association EpA, et le dispositif « Une Entreprise Dans Votre Lycée », de l’E.N., très intéressants mais qui ne concernent que très peu d’élèves (à peu près 0,5% des élèves concernés).Pour parrainer régulièrement des équipes engagées, et avoir participé à des concours régionaux, je peux en dire que :– Les jeunes engagés sont très motivés, et ils grandissent plus rapidement – travail en équipe, gestion de projet, créativité, communication (dont le « pitch »…)– Les enseignants qui les accompagnent sont tout autant motivés !– Mais ils ont beaucoup de mal à dégager du temps, car ces projets sont toujours à mener en dehors du programme scolaire, et des emplois du temps très contraints …Je conserve, en tant que parrain ou jury, des souvenirs formidables, notamment des journées de finales régionales #AJE29

👁️‍🗨️ Et pendant ce temps …. à l’Association Jeunesse Entreprises du Finistère …

✳ L’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises était agréablement représentée à la soirée DIRIGEANTS RESPONSABLES FINISTERE – BRETAGNE avec Anna Szeremeta Lydia Villefeuet Sylvie CESAR. Un grand merci👏Au président toujours aussi sympathique Philippe BIHAN👏Aux animatrices fortement remerciées pour leur énergie collective tout au long de l année Françoise Lelann et Aurore Coppens👏Aux héros de la soirée pour leurs engagements et leur humour Hervé Appéré et Olivier Branellec ✴ Nous souhaitons la bienvenue à Génération pour son engagement en tant que partenaire auprès de l’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises.Matthieu HAVY ❇ L’engagement toujours très fort de Cummins Inc. qui change de nom pour devenir Atmus Filtration Technologies. Encore de beaux partages et de belles expériences avec les jeunes du territoire.

💡 La revue du mercredi par Daniel SOMMER notre expert AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises

#5 : 𝘼𝙥𝙥𝙧𝙚𝙣𝙤𝙣𝙨 𝙩𝙤𝙪𝙨 à « 𝙥𝙞𝙩𝙘𝙝𝙚𝙧 » ! Ce vendredi 13 octobre, j’ai eu la chance d’assister à une rencontre originale, celle du club d’affaires « BNI Quimper Cornouaille » avec des jeunes lycéens et étudiants du Le Likès – Quimper.Réunion rythmée, de très nombreux intervenants – environ 50 ( !), donc une seule option : pitcher ! 45 secondes étant allouées à chacun, toute l’assistance a pu prendre conscience de la difficulté de cet exercice oral, qui s’est désormais très largement répandu dans la société.Comment se présenter, de façon claire, concise et complète, à un auditoire qui ne vous connaît pas ! Un pitch standard tient, généralement, entre 60 et 90 minutes, parfois 120, et même 180 secondes pour l’exercice très intéressant « ma thèse en 3 minutes » (on en trouve des illustrations très parlantes sur internet !). Notons aussi que le « pitcheur » ne doit disposer d’aucun texte à lire…A titre personnel, compte tenu de ma large expérience de l’entretien, j’ai fait depuis longtemps le constat que l’introduction d’un entretien – « chèr(e) candidat(e), présentez-vous », est, à de très rares exceptions près, toujours médiocre ! Au mieux, le candidat relit son CV – que l’on a déjà sous les yeux (ça énerve un peu…). Or, comme l’a affirmé un célèbre humoriste : « 𝙤𝙣 𝙣’𝙖 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙪𝙣𝙚 2𝙚̀𝙢𝙚 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙘𝙚, 𝙙𝙚 𝙛𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙪𝙣𝙚 𝙗𝙤𝙣𝙣𝙚 1𝙚̀𝙧𝙚 𝙞𝙢𝙥𝙧𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣 »C’est pourquoi, en tant que conseiller d’orientation, je focalise de plus en plus mes animations et interventions sur ce fameux pitch d’introduction, pour tous types de publics – élèves préparant un oral, créateurs d’entreprise devant passer devant un comité de crédit, demande d’insertion dans un réseau, etc. Après une dizaine d’années de réflexions, je suis désormais focalisé sur un schéma de pitch en trois temps :–      Qui suis-je ? Ma personnalité, mes centres d’intérêt, mes valeurs–      Quel est mon #projet (pro et perso) ? Quoi, pourquoi, comment…–      Pourquoi suis-je en face de vous ?Notons que ce cadre fonctionne également, très bien, pour rédiger un – court – texte de candidature, et notamment le très célèbre « Projet de formation motivé » du dispositif « #parcoursup », requis pour toute candidature en formation supérieure et qui doit tenir en moins de 1 500 caractères – soit vingt lignes.Nous sommes ainsi, chez AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises, bénévoles et équipe permanente, à votre écoute pour vous accompagner dans tout projet sur ce sujet, et en notamment via le dispositif du « #mentorat AJE ».

👁️‍🗨️ Cette semaine à l’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises … de belles rencontres et de beaux échanges avec …

✳ les entrepreneur.e.s présent.e.s à l’Escale AJE organisée en partenariat avec Groupe Scolaire La Croix-Rouge La Salle Brest.Une très belle audience (orchestrée par Claude Miossec) avec les 250 élèves de Terminales au Bachelor de l’établissement, attentifs et curieux des interventions de Jean Lallemand arrière petit fils et gérant de Jampi Glacier, Léna Rauturier (Prête-moi une robe), Yann-Gaël FOURN (Acromath), Gaël Le Saout (Conseil en Relations Publiques) et Stéphanie Cariou (A3 paysage).Merci à Jean-François Mahé pour son intervention sur le #mentorat. ✴ une visite chez @Laboratoires Gilbert de Plouédern (29) dans le cadre des Mercredis de l’entreprise organisés par AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises. Merci à Ludovic Coquet pour son accueil sur le site. ❇ une opération menée en partenariat avec Le Likès – Quimper et BNI Quimper Cornouaille. Dans le cadre d’une des réunions hebdomadaires de BNI Quimper Cornouaille, des élèves de l’établissement ont pu « pitcher » un projet, un parcours en 45 seconds chrono devant une audience de professionnels qui s’est elle aussi prêtée à l’exercice !Marie-Claire Deudé LIONEL LE FOURN Magali Penven Mutlu Ozkan ✴ des interventions de membres AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises (merci Nathalie DIAZ et Michaël Jolivet) auprès des élèves de LE PARACLET LYCEE.Et la présence et le témoignage d’un ancien élève de l’établissement, Jules Rolland, qui a créé le restaurant Nuance à Plomeur (29).

La plateforme de stage Idéo – La Région Bretagne

L’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises partenaire de la Région Bretagne pour accompagner les jeunes à la recherche de stage avec la plateforme #idéo. Vous travaillez dans une #entreprise, une #association ou une #collectivité ? Vous souhaitez faire connaître vos métiers et ouvrir vos portes aux générations futures ? ▪️ Proposez vos offres de stages de 3e avec IDÉO, le service public d’information et d’aide à l’orientation en Bretagne. ▪️ Nous mettons à votre disposition une plateforme d’offres de stages en ligne qui simplifie vos démarches et permet aux élèves d’accéder facilement à vos annonces. Toutes les informations : https://bit.ly/3LLFX6a

💡 La revue du mercredi par Daniel SOMMER notre expert AJE

#5 : 𝙐𝙣 𝙨𝙩𝙖𝙜𝙚 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡 𝙚𝙣 𝙨𝙚𝙘𝙤𝙣𝙙𝙚 𝙜𝙚𝙣𝙚𝙧𝙖𝙡𝙚 : 𝙥𝙤𝙪𝙧𝙦𝙪𝙤𝙞 𝙙𝙚𝙫𝙧𝙖𝙞𝙩-𝙞𝙡 𝙚𝙩𝙧𝙚 𝙞𝙢𝙥𝙤𝙨𝙚 𝙥𝙖𝙧 𝙡’𝙀.𝙉. ? Bien sûr, toute action de découverte du monde professionnel, pour les jeunes scolarisés, est une excellente chose ! (voir mon post #1 « c’est la rentrée »). Et la reconquête du mois de juin pour les secondes est une question très ancienne, dont de nombreux établissements se sont déjà emparés, sans avoir besoin d’une directive de l’#ÉducationNationale…En particulier, nous connaissons quelques lycées du #Finistère qui ont déjà instauré un stage en entreprise, au mois de juin (notamment celui de Brizeux, depuis probablement près de dix ans).La différence avec l’annonce du ministère est que les initiatives engagées jusqu’à présent se sont limitées à une seule semaine. On trouve en outre deux formules : le stage obligatoire (Brizeux, St Louis, par ex.), et le stage facultatif (Cornouaille, Le Likès, par ex.). Dans certains cas, il donne lieu à une restitution orale, soit fin juin soit début septembre. Bref, quel est donc le besoin pour l’état de procéder – comme d’habitude – par obligation et consigne descendante ? Ce qui n’a pas manqué, au passage, de provoquer une levée de bouclier des syndicats enseignants ! Pour des motifs entendables, au demeurant – poids des inégalités sociales, « concurrence » des stages de Bac pro… Pourquoi vouloir que d’un bout à l’autre de la France, tout le monde fasse exactement la même chose ? Mon avis est que, une fois encore, l’E.N. a manqué une occasion de donner une pleine autonomie aux établissements et aux équipes éducatives, qui sont clairement les mieux placés pour décider et mettre en œuvre ce type d’action de découverte des métiers. Un état « maternel », qui va donc rencontrer des réactions « enfantines » (syndicats, notamment). Au lieu de cela, il aurait suffit de communiquer largement sur les initiatives déjà en place, de les valoriser, et de donner aux hésitants des indications sur les moyens de réussir cette action. Bref, d’utiliser comme toute entreprise la démarche de l’échange de bonnes pratiques, dans laquelle les acteurs de terrain ont un réel sentiment de piloter, eux-mêmes, leur destin.L’E.N. aurait ainsi pu, également, conseiller aux lycées de se mettre en contact avec les associations professionnelles, telle AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises, pour trouver les bons contacts, ou aider les lycéens les plus en difficulté.Mr Gabriel Attal, essayez de changer (pour une fois) le logiciel du « mammouth » !

Les métiers du numérique à l’AJE29

Premier Mercredi de l’entreprise de cette année scolaire avec un focus sur les métiers du numérique. Merci à nos intervenantes : ADN Ouest Caroline Argouarch ENI Ecole Informatique Karen QUINTIN

👁️‍🗨️ Cette semaine à AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises …

✳ Une belle opération en partenariat avec le groupe scolaire Javouhey de Brest (Sup’Javouhey Brest) et les 1ère année BTS GPME sensibilisés au monde de l’entreprise avec la présence de Daniel SOMMER (expert AJE29)https://lnkd.in/eYuzFX6Z ✴ La réception des dossiers de candidature pour les actions concrètes auprès des jeunes du territoire continue. En quelques chiffres :🔸 Report’AJE : 6 établissements scolaires ont candidaté à ce jour avec 14 classes et déjà 299 élèves (potentiellement) accompagnés dans la découverte du monde professionnel🔸 Un stage pour tous : nous avons reçu 6 dossiers pour 16 classes et 325 élèves qui pourraient bénéficier de l’expérience des professionnels et membres AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises Les établissements scolaires ont jusqu’au 16 octobre pour déposer un dossier et offrir aux élèves l’opportunité de découvrir le monde de l’entreprise. #idéo Conseil départemental du Finistère Région Bretagne #stageamission #jeunesse #entreprises #accompagnement Quimper Bretagne Occidentale / Ville de Quimper

💡 La revue du mercredi

Chaque semaine, notre expert Daniel SOMMER vous livre son point de vue et ses réflexions sur l’actualité Jeunes et Entreprises.Bonne lecture ! 🎒 #2 𝙌𝙪𝙚𝙡 𝘼𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡𝙚 𝙡𝙮𝙘𝙚𝙚 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡 ? Depuis l’importante réforme des années 2010-2012, consistant à réduire de 4 à 3 années la scolarité des lycéens pro, la voie professionnelle avait dans les faits suscité peu de déclarations politiques.Il n’en est plus de même, aujourd’hui ! En effet, notre Président actuel fait désormais, après le thème de l’emploi, celui de l’enseignement sa grande priorité, une « Cause nationale ». Suivant une première communication en septembre 2022 , il a produit une série d’annonces sur le LP, début mai 2023. ❓ 𝘘𝘶𝘦𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘭𝘦 𝘥𝘪𝘢𝘨𝘯𝘰𝘴𝘵𝘪𝘤 – 𝘱𝘳𝘦𝘴𝘪𝘥𝘦𝘯𝘵𝘪𝘦𝘭 ❓ ➡ Le marché de l’emploi manque, durablement, de compétences précisément développées dans les LP – et bien sûr dans les CFA ➡ L’efficacité des LP est sujette à débat, notamment en termes d’orientation et d’insertion – voir le graphique en bas de texte – en particulier en raison d’une plus grande efficacité de l’alternance : 50 (temps en entreprise) / 50 (temps de cours), en CFA, contre ~ 20 / 80 en LP. Sans même évoquer la motivation apportée par le salariat des apprentis… ➡ La moindre réactivité des LP quant à l’évolution des besoins : trop de places en tertiaire, pas assez en industriel ? ➡ Le public des jeunes décrocheurs se concentre majoritairement dans les LP – non obstant la mise en route du programme récent (2020) « un jeune une solution – https://lnkd.in/eHjCeZT9 ✅ En conséquence, les idées de réformes se sont succédées ces dernières années, depuis l’idée de regrouper (fusionner ?) CFA et LP – option immédiatement clouée au pilori par l’Education nationale, l’ouverture à l’apprentissage dans les #lycées – désormais engagée -, jusqu’aux dernières mesures, annoncées en mai dernier, dont voici les principales :🔹 Budgets des LP annoncés en hausse – + 1 Md d’€ ?🔹 Réaménagement des cartes de formations : plus d’industriel, moins de tertiaire🔹 Rétribution des stages (PFMP) des lycéens pro – ~ 1 600 € pour les trois ans🔹 Soutien à l’orientation accru en classe de seconde, en petits groupes🔹 Découplage, en terminales, entre les élèves se destinant au post Bac, et ceux visant une insertion directe – stages accrus pour eux ? Ces perspectives ne peuvent que stimuler AJE 29 à être plus présente, au sein des LP, pour y contribuer aux actions d’aide à l’orientation et de suivi des décrocheurs, mais aussi, pour accentuer nos efforts de présentation et de valorisation des filières professionnelles industrielles, dans les classes de collège, démarche déjà engagée au travers de nos « Report’AJE » https://lnkd.in/eSZ2UCSe