🚀 Cette semaine a été riche en événements à AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises ! 🌟

🔬 La semaine dernière, 30 élèves en option STI2D (Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable) ont eu l’occasion de découvrir à quoi servent les sciences de l’ingénieur en visitant le site Quimpérois d’Axon’ Mechatronics group, qui conçoit et fabrique des composants moulés mécatroniques, notamment pour l’industrie automobile ! Mardi, c’était au tour de l’entreprise Atmus Filtration Technologies d’ouvrir ses portes à d’autres lycéens avides de découvrir le monde professionnel.Ces initiatives s’inscrivent dans le programme complet d’échange École-Entreprise entre l’AJE29 et le Le Likès – Quimper, pour les lycéens qui suivent une option Science de l’ingénieur, jusqu’en Terminale avec leur projet de fin d’année présenté au Bac (SI, STI2D) 👩🏫 Mercredi, nous étions avec la délégation cornouaillaise de Produit en Bretagne pour la visite de l’entreprise Krampouz. L’occasion de voir les coulisses d’une entreprise locale emblématique #crêpes.💼 L’après-midi, nous organisions une animation sur les #SoftSkills, essentielles pour réussir dans le monde du travail. Un grand merci à Céline Lagathu Hinault pour son intervention et son partage d’expérience au sein de l’entreprise CCMTech. 📚 Jeudi, les élèves de la filière STMG du Lycée Kerneuzec ont visité et échanger sur les métiers de notre partenaire : Génération. 🔍 Enfin dans le cadre de notre action #Report’Aje, cette semaine, les élèves du collège Charles de Foucauld à Brest ont pu découvrir TECHNATURE et #Brestmêm’Restauration. Dans le Finistère sud , ce sont les élèves de 3ème SEGPA du collège Saint Yves à Quimper, qui ont pu découvrir le magasin Botanic avec un focus sur les métiers de la logistique, la chaîne d’approvisionnement.Merci à Elise BELLAGAMBA, Melvin Chopin et CORBINEAU Ludovic d’avoir rendu cela possible. 🙌 Un grand merci à toutes les entreprises partenaires et aux intervenants pour leur contribution à l’éducation et à l’orientation professionnelle des jeunes ! ✨ #Education #Partenariats #Inspiration #RSEjeunesse
💡 La revue du mercredi par Daniel SOMMER notre expert AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises

#26 : La RSE : les jeunes, concernés ? Brest, mercredi 27/03, exposé-débat très intéressant sur la RSE et la jeunesse, co animé par Nolwenn Robert-Gourmelon et Clément Bossard, du cabinet aencrage conseil RSE. Mon résumé :La loi « Pacte » de 2019 a inscrit dans le Code Civil l’obligation pour les entreprises de s’engager dans la RSE – Responsabilité Sociétale des Entreprises. Il s’agit de l’intégration volontaire de préoccupations économiques, sociales et environnementales, à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. En d’autres termes, la RSE est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Une entreprise qui pratique la RSE va chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable. La RSE recouvre ainsi de nombreux enjeux : énergie, biodiversité, climat, égalités… La norme ISO 26000 vient compléter cette disposition, en s’appuyant sur 7 piliers majeurs. Enfin, les plus engagées vont inscrire dans leurs statuts la notion de « Société à Mission »Qu’en savent et qu’en pensent les jeunes ? Je distinguerais deux niveaux de sensibilisation. D’abord, celui des études supérieures et des jeunes diplômés, où il y a de plus en plus d’initiatives stimulantes : évolution des programmes en fonction du DD, projets d’étudiants orientés DD (les bifurqueurs…), mise en avant des attentes sur la RSE en recherche d’emploi, succès des sites d’emploi orientés DD – « jobsthatmakesense », « shiftyourjob » – Les jeunes adultes bougent ! En revanche, je suis assez surpris, et déçu, du peu de réalisations concrètes de l’Education Nationale. Et si de nombreux collèges lancent des initiatives variées sur le sujet, les lycées me semblent figés dans le carcan des programmes et du baccalauréat. Même le programme de SES ne mentionne pas explicitement la RSE voire le DD, dans ses résumés. Le ministère de l’EN a certes diffusé des documents didactiques – les 4 domaines de compétences EDD, par ex. -, et demandé que le DD soit pris en compte par tous les enseignants, mais dans la réalité :– Les programmes n’évoluent quasiment pas – mis à part les spécialités STI2D et SI.– Les lycéens, rencontrés, se montrent peu sensibilisés aux enjeux RSE, notamment dans leurs projets personnels, et l’argent reste une valeur importante pour eux…Pourquoi n’existe-t-il pas une obligation de RSO (Organisation), pour les établissements scolaires, comme on commence à en observer dans les établissements du supérieur ? Feuilletant la brochure de présentation d’un lycée, je n’y trouve aucune mention de DD, de RSE, de RSO… Quand va-t-on réellement bousculer les programmes, pour y faire une place significative à ces notions essentielles ? AJE 29 affiche de son côté une ambition croissante sur la RSE, avec de nouvelles actions en cours de définition et un slogan désormais reconnu, la «#RSE #Jeunesse ».
🌟 Cette semaine à l’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises🌟

📆 Lundi: Avait lieu la visite du magasin E.Leclerc de Pont l’Abbé avec les élèves de 4ème SEGPA du collège LaënnecLe focus a été mis sur 4 métiers : employé libre-service, employé logistique réception, service qualité, fabrication boulangerie / pâtisserie.Guidés par les salariés concernés, ils ont obtenu un maximum d’informations pour bien comprendre le rôle de chacun. Munis de leurs tablettes, films et photos ont été récolté pour venir alimenter leur hashtag#Report’AJE qui sera présenté le 16/05.Merci à stephanie racassa pour l’accueil des élèves et de leur professeur Valérie Ruanno et à Agnès AURIERES, bénévole AJE pour son accompagnement sur ce projet. 📆 Mardi: 🚀 démarrage d’un hashtag#Report’Aje ! Pierre Morvan, PDG de TECHNATURE a présenté l’entreprise et les différents services aux élèves de 2de du lycée Charles de Foucauld, Groupe Scolaire de l’Estran, afin de préparer la visite du site du Relecq Kerhuon et l’interview des salariés mardi prochain. Le parcours atypique de Pierre Morvan a marqué les élèves : comment passer des études de Biologie, à l’entrée en stage chez TECHNATURE et finir Dirigeant de l’entreprise !Merci à AICHA YVENAT, professeur d’économie-gestion pour le travail de préparation effectué avec les élèves avant l’intervention du professionnel. 📆 Jeudi: 🖨️ C’était la phase de conclusion d’un beau hashtag#Report’AJE pour les élèves de 3ème 1 du collège Laënnec de Pont L’Abbé. Ils ont pu présenter à Frédéric Guémas, directeur général de PUBLIGRAPHIC et Logann Cariou d’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises, le fruit de leur travail. Une belle expérience pour ces élèves investis, qui ont pu découvrir le monde de l’imprimerie numérique et de la sérigraphie de haute qualité.
💡 La revue du mercredi par Daniel SOMMER notre expert AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises

#25 : Les attentes des jeunes vis-à-vis du travail Les difficultés quasi générales de recrutement, dans le Finistère comme ailleurs, et ceci dans de nombreux secteurs, ont largement renversé le rapport (de force) entre les candidats et les recruteurs. « Je viens de réaliser que ce n’est plus moi qui choisis, mais les candidats qui me choisissent », lâchait, dépité, le patron de Kiclos lors d’une émission « Envoyé Spécial », en mai 2023… En parallèle, les attentes des jeunes vis-à-vis (parlons de la « Génération Z », allant de 18 à 30 ans) sont en évolution sensible, pour toute une série de facteurs. C’est aussi un thème qui est très souvent évoqué, dans les médias, ou par des études, beaucoup plus qu’il y a 15 ou 20 ans.Je vais, très personnellement et donc modestement, tenter une synthèse sur ce que j’observe, sous le prisme « Jeunesse & Entreprises », bien sûr.1. La recherche d’un bon équilibre privé / professionnelC’est désormais une évidence : les jeunes adultes tiennent beaucoup plus à leur espace personnel, que leurs aînés. Horaires flexibles, télétravail – quasiment exigé par de nombreux candidats !-, prestations d’accompagnement familial (crèches en entreprise, par ex.), sont devenus des critères importants de choix d’une entreprise2. La quête de « sens »Elle découle, notamment, de la possibilité pour les candidats de choisir. La capacité à bien voir l’utilité de son emploi, le plus largement possible – le taylorisme se fait de plus en plus rare…-, des structures affichant (et pratiquant !) des valeurs qui leur conviennent, et notamment, en hausse, l’inscription de la stratégie de l’entreprise dans un développement durable, avec des actions concrètes de décarbonation.3. Le rapport à l’autoritéElle ne se décrète plus, elle se mérite ! Les jeunes recherchent des managers qui communiquent, qui expliquent, qui délèguent, qui savent être exemplaires, dans un contexte de pyramides hiérarchiques de plus en plus plates.4. La fin des carrières linéairesLe numérique a transformé les jeunes en zappeurs ! Il est devenu très, très rare, de croiser un jeune déterminé à faire la même chose, toute sa carrière. Au contraire, nombreux sont ceux qui multiplient les expériences, changeant d’entreprise ou de secteur, au gré de leurs motivations du moment. Les politiques de fidélisation deviennent très compliquées pour les entreprises, même via l’actionnariat salarié.Une conclusion, tirée du rapport récent de Terra Nova – « Un portrait positif des jeunesses au travail : au-delà des mythes » – sous-titré « Loin des clichés sur leur fainéantise et leur désinvestissement, la nouvelle génération de salariés est impliquée mais exigeante, et fait évoluer, par effet de contamination vertueuse, notre rapport au travail »#jeunesse #entreprise #recrutement #generationz
🌟 Cette semaine à l’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises, secteur Nord 🌟

📅 Lundi : Sylvie CESAR et Guillaume FONDIMARE de l’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises ont pris part aux #RoutesMaritimes et Citoyennes à la Préfecture Maritime de Brest. Une journée consacrée à « la force de l’équipage en situation de crise », une thématique cruciale pour la #Marine, les entreprises et les collectivités. 🌊⚓📚 Mardi : De belles actions dans le cadre des #Report’Aje ! Elodie Le Roux d’ETT – ENERGIE TRANSFERT THERMIQUE de Ploudalmézeau et Melvin Chopin d’Elior Group – Brestmêm’ Restauration ont partagé leur expertise respectivement avec les élèves du Collège Edouard Quéau et du Lycée Charles de Foucauld de Brest. Une journée enrichissante et inspirante pour tous ! 📚🎓 Merci à nos bénévoles Lydia Villefeu 🔥et Francoise Foll pour leur accompagnement sur ces projets.🖼️ Mercredi : Au collège Joséphine Baker de Brest, les élèves de 4èmes Segpa ont présenté leur #Report’AJE avec des affiches créatives sur l’entreprise Brédial à Plabennec. Un projet réalisé avec succès grâce à l’engagement des professeurs, des collaborateurs de Brédial et au soutien du Conseil départemental du Finistère. Bravo à tous pour cette belle réalisation ! 🎉👏Une semaine remplie de partage, d’apprentissage et de réussites ! Félicitations à toutes les personnes impliquées et un grand merci à nos bénévoles pour leur dévouement. 👏🌟 #AJE #Education #Partage 🏫 Au collège Max Jacob, les élèves de 4ème5 ont débuté leur #Report’AJE avec Clément Guilloux et Laurent Boistuaud d’Atmus Filtration Technologies. Ce sont ensuite, les classes de 4ème1, 4ème2 et 4ème3 qui ont pu se lancer dans l’aventure du #Report’AJE. Pour cela Anne-Laure PERES, directrice de LE KOEUR – COOPERATIVE BIO, Jean-Philippe ROSSO, directeur technique de MCA Process et David Jestin, responsable commercial de l’Imprimerie du Commerce, sont intervenus pour présenter leurs univers respectifs à des élèves impliqués et enthousiastes. Un grand merci à nos intervenants pour leur partage d’expérience inspirant ! 👩🏫🌱 Anthony Roquinarch, Responsable Production Horticole et Pépinière des Pépinières de la Ville de Quimper a également captivé les élèves de 4ème ULIS du collège Max Jacob avec son témoignage sur son métier. Une participation active et un enthousiasme palpable ! 🌿👨🌾Un grand merci à Agnès AURIERES, Gilbert MIGNOT, Didier Enizan et Jean Pierre Rouxel, bénévoles AJE29 pour leur accompagnement tout au long des ces projets.🎥 Au collège Jean Marie Le Bris de Douarnenez, c’était un grand jour pour les élèves de 4ème SEGPA qui ont brillamment présenté leur #Report’AJE sous la forme d’un film. Une restitution de qualité suivie d’un échange très intéressant entre Garance-Sophie Moine, ingénieure qualité chez Atmus Filtration Technologies, qui était intervenue auprès de la classe en janvier, les élèves et les professeurs. Merci à tous pour votre implication ! 🎬👏🌿 Enfin, au collège Saint Yves, les 3èmes SEGPA ont lancé leur propre #Report’AJE avec CORBINEAU Ludovic, directeur du magasin Botanic. Une belle rencontre nourrie d’interactions avec des élèves très intéressés ! 🌺👩🌾 🌟✨Sur un autre sujet, lundi, dans le cadre de la semaine de l’#emploi à la LE KOEUR – COOPERATIVE BIO, Quimper, Agnès AURIERES, bénévole AJE Finistère Association Jeunesse Entreprisesère, a accompagné un groupe dans la rédaction de CV et de lettres de motivation. 💼📝 Chacun a pu y affiner ses compétences pour se préparer au mieux au marché de l’emploi. 👏Samantha Guilloteau Anne-Laure PERES Une semaine pleine de découvertes et d’échanges fructueux ! Bravo à tous les participants et un grand merci à nos intervenants et bénévoles pour leur engagement 👏🌟 #Education #Partage #Entreprise #rse #jeunesse
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#24 : Le printemps des forums à l’emploi saisonnier Jeudi 14/03, une première, je crois : voici des entreprises à la recherche de jeunes pour des emplois saisonniers, venus camper directement dans un lycée ! Il s’agit d’une vingtaine de structures du secteur du tourisme, amenées par la CCI et qui organisent leur forum à l’emploi, au plus près des lycéens et étudiants de BTS. L’initiative cherche à renouveler le genre, celui des forums à l’emploi organisés à partir de la mi mars, dans de très nombreuses communes du littoral. Par exemple : 300 emplois à combler à Concarneau (16 mars), 50 en presqu’île de Crozon (23 mars), 500 offres dans le pays bigouden (le 16 mars), etc…Les employeurs que j’interroge me confirment deux phénomènes, concomitants : le retour progressif des (anciens) salariés du secteur HCR, partis pour cause de Covid, mais aussi le besoin croissant de jeunes, et de plus en plus jeunes. Là où, il y a 6 ou 8 ans, un mineur avait beaucoup de mal à trouver un emploi, la limite des dix-huit ans est allègrement franchie, voire même celle des seize ans. Un employeur m’affirmait même préférer des mineurs, car encore logés – et encadrés… – par leurs parents, et donc plus assidus voire plus fiables !Ce constat, j’avais pu le faire au printemps 2023, en rencontrant en classes de seconde Plus d’une centaine de jeunes, dont un bon quart affirmait prévoir de travailler à l’été suivant, ce que je n’avais jamais vu, à cette échelle, jusqu’alors. Certains affichaient quinze ans, et avaient des perspectives en centres de loisirs, en grande distribution…J’ajoute toutefois un bémol : à la question posée : « à partir de quel âge un jeune a-t-il le droit de travailler ? », je n’avais généralement que « seize ans » comme réponse, et, rarement, quinze ans, propos confirmant la confusion chez une grande majorité de jeunes entre l’âge limite – vers le haut – de l’obligation de formation initiale, avec celui de l’âge légal pour travailler – quatorze ans -, et partant, celui de la méconnaissance du statut d’apprenti, dès les quatorze ans.De fait, les tensions générales et croissantes sur le marché de l’emploi, désormais bien connues, amènent les entreprises à recruter de plus en plus tôt, les jeunes en formation.Soit en jobs d’été, soit en stages, soit en alternance, et même en emplois permanents.C’est ainsi que, au printemps 2022 et intervenant dans une classe de première, j’y avais repéré une élève en poste chez MacDo – et fière de me dire qu’elle était (déjà) formatrice des recrues – et une autre jeune fille, aide-soignante dans un EPHAD. Les anciens d’AJE 29 se rappellent d’ailleurs Maeva, en service civique chez nous entre 2014 et 2015, et qui avait dû, l’année de sa terminale, travailler six mois en tant qu’équipière MacDo, à 20h / semaine…Les jeunes, en emploi, de plus en plus tôt ? Je fais le pari que la tendance n’est pas prête de s’inverser.
Immersion chez Entech

Dans le cadre des actions de l’AJE Finistère Association Jeunesse Entreprises liées aux sciences, orchestrées par des bénévoles AJE : Eric Ponchel, Jean-Christophe BAYETTO et Jean Luc Monfort, les élèves de 1ère Option Sciences de l’Ingénieur du lycée Le Likès – Quimper ont eu l’opportunité de donner du sens à leur enseignement avec une immersion chez Entech smart energies, entreprise Quimpéroise spécialisée dans les énergies renouvelables 🔋. Ils ont partagé une matinée avec trois jeunes ingénieurs passionnés par leur métier 💼. Mathilde Rousseau, ingénieure support avant-vente chez PVUT, met en lumière son domaine d’expertise : » Nous recevons des dossiers de consultations de la part de nos clients développeurs de centrales photovoltaïque au sol, notre rôle est de proposer la meilleure offre technico-commerciale. Notre travail s’étend de la conception technique de la centrale, à la consultation de fournisseurs clés, jusqu’à la préparation du devis et du mémoire technique. 🌞. »Christophe RAMALINGOM, ingénieur R&D contrôle commande et informatique industrielle au sein du bureau d’étude développement informatique : « Mon quotidien oscille entre l’intégration de nouvelles fonctions au logiciel de pilotage et de supervision des systèmes 🖥️et le développement de modèles pour la simulation de ceux-ci afin de valider et quantifier les avantages et inconvénients des solutions de pilotages intégrées. » »Martin BEAUDOUARD, ingénieur R&D axé sur l’étude, la conception et le développement de systèmes d’énergies renouvelables, détaille son rôle : » Je suis chargé de définir le fonctionnement du système et je développe le logiciel qui va permettre de le piloter. Une fois terminé, je suis chargé de tester le système et l’installer chez le client 🏡. »
Report’AJE à la SICA

🌟 Mardi, Guillaume Fondimare , membre de notre association, a accompagné une classe du collège Jacques Prévert pour un Report’AJE à la SICA ! 🎬 Une expérience enrichissante pour les jeunes pour une découverte d’un secteur et de ses métiers .
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#23 : La formation continue : en parle-t-on aux jeunes ? Clairement, la réponse est non ! J’ai fait le test du questionnement depuis près de vingt ans, auprès des élèves et étudiants rencontrés, et j’en ai tiré la conclusion que le système d’enseignement français reste, solidement, ancré sur la primauté des études initiales – que je traduis volontiers par la formule de la « Diplômite aigue ».Or, la formation continue (FC) est très présente dans le quotidien des organisations et des entreprises, sous des formes très diverses : les demandes sont importantes, et les offres nombreuses et variées. A ce titre, on oublie souvent que la grande majorité des structures de formation initiale sont aussi qualifiées pour accueillir des personnes déjà en emploi – universités, écoles supérieures, AFPA, GRETA – ceux-ci au nombre de 137, gérés par l’Education nationale, au moins un par département, avec 4 750 lieux où peuvent se dérouler les prestations de formation continue – du CAP au BTS.Il faut bien sûr distinguer deux types de formations continues : celle qui est gérée par les entreprises, pour de courtes ou moyennes durées et pour des objectifs directement liés aux postes de travail des salariés – on parle alors du « plan de formation ». Celle dont je veux parler ici est en fait la formation qui correspond à des changements importants, de trajectoire professionnelle : je suis technicien, je veux devenir ingénieur, je suis salarié, je veux devenir entrepreneur, je suis agent de service, je veux devenir crêpier, je suis aide puéricultrice, je veux devenir infirmière…. Ces personnes-là sont en général accompagnées par des structures de reconversion, nombreuses et diversifiées : Pôle Emploi, bien sûr, centres de bilans de compétences (hashtag#CIBC), conseillers en évolution professionnelle, cabinets privés, etc. Il y a quelques années, un nouveau sigle a même été envisagé : la « FTLV », ou « Formation Tout au Long de la Vie ». Trop long, sans doute, ce sigle a rapidement été oublié….Notons au passage le frein principal aux formations de reconversion, celui de leur financement, mais plusieurs dispositifs sont utilisables. Au premier rang le hashtag#CPF, désormais bien ancré dans les mœurs, ainsi que le Projet de Transition Professionnelle, créé en 2019 et pouvant financer jusqu’à 18 000 €, sous conditions. (cf : service-public.fr)Il est ainsi dommage que l’ensemble des dispositifs de FTLV ne soit pas présentés, et valorisés, au sein des formations initiales, dans le supérieur au minimum, et si possible dans le secondaire. Cela permettrait de mettre l’accent sur la notion de projet professionnel, et d’acquisition de compétences, plus que sur la – seule – obtention d’un diplôme initial ; lequel est, de moins en moins, le gage d’une trajectoire de vie réussie – à mon humble avis…hashtag#education hashtag#formation hashtag#formationcontinue hashtag#orientation hashtag#reconversion
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#22 Intelligence Artificielle : quels effets sur la pédagogie ? Jeudi 15 février, je suis de jury pour un concours d’éloquence, réunissant onze élèves de 1ère et de terminale, invités à commenter en dix minutes une citation de Stephen Hawkins (2014) « Créer l’intelligence artificielle serait le plus grand événement de l’histoire de l’humanité. Malheureusement, ce pourrait aussi être le dernier, à moins que nous découvrions comment éviter les risques ».Au-delà du vif plaisir de découvrir tous ces jeunes talents, volontaires et en situation d’acteurs, les différents exposés ont éveillé en moi plusieurs pistes de réflexion, et en particulier celle du rôle d’un enseignant en 2024.En réponse à une question du jury, plusieurs jeunes ont expliqué avoir déjà utilisé de l’IA « générative » (Chat GPT, DALL-E) pour produire des devoirs, en particulier des commentaires de textes pour un cours de français. « J’ai eu une bonne note… », a ainsi avoué une jeune fille !Alors, certes, depuis l’avènement de l’informatique, d’internet, du smartphone, le métier d’enseigner a déjà notablement évolué, même si le cours magistral reste encore largement dominant. Mais il faut aussi reconnaître que de nombreuses initiatives se sont développées dans les écoles, à l’initiative des enseignants eux-mêmes. On peut citer la démarche de la « classe inversée » qui consiste à voir le cours à la maison, puis à faire les exercices en classe, en petits groupes, ou encore l’existence de chaînes YouTube et de tutos, par exemple celle de Yvan MONKA, largement utilisée par des enseignants en mathématiques. Mais le « mammouth » de l’Éducation Nationale reste très difficile à bouger ! Citons cependant la démarche impulsée par le haut, des EPI dans les collèges il y a une dizaine d’années, ainsi que le développement Réseau Canopé, producteur d’outils pédagogiques innovants pour les enseignants.Les élèves d’aujourd’hui sont de moins en moins attentifs, en cours classiques, mais les mettre en action, sur les travaux de groupe, des projets spécifiques, est nettement plus efficace. Cela permet de leur montrer à quoi peuvent servir les enseignements qu’on leur propose. Le même constat est d’ailleurs effectué dans les formations supérieures, où, dans les écoles de management, les étudiants passent de moins en moins de temps en cours magistral, et de plus en plus dans des engagements associatifs divers et variés. On lira à ce sujet un article du du 16/02/204, titré « Écoles de commerce : les associations, cœur battant de la vie étudiante », et sous-titré : « Sport, art, humanitaire… S’investir dans un projet collectif apporte savoir-faire et réseau. Et permet de mettre en pratique les apprentissages ».A méditer pour tous ceux qui font œuvre de pédagogie ? Et quels impacts l’IA génère-t-elle pour chaque professeur ? #education #jeunesse #intelligenceartificielle #pedagogie